Chèr.e ami.e,
si tu reçois ce mail c’est que tu as accepté d’entrer dans l’aventure Rêves D’août.Cet été, après avoir lu « une vagues de rêves », manifeste surréaliste d’Aragon, j’ai décidé de noter mes rêves chaque matin. Du 1er août au 1er septembre. 1824-1924, cent ans en un moi.Le rêve et ses débordements pour transcender le réel. La poésie, qui porte en elle un caractère révolutionnaire. La rencontre, avec l’univers, avec la nature, avec l’autre. Le voyage. Le premier, celui de la pensée. Voici les quatre piliers de ma vie que je porterai d’ici et jusqu’à la lumière. Le surréalisme vient par dessus le réel, jouant avec lui pour littéralement prendre de la hauteur.Voici le rêve auquel j’ai pensé pour toi:
5824 I
Une femme gendarme marche dans l’église saint Jean-Baptiste à Jourdain, elle passe derrière le pylône de droite au fond. Elle met la main dans le bénitier et se pose les doigts sur le front. La main reste une seconde, deux secondes, trois, quatre… L’image a sauté.
23824 III
Un visage de femme au cheveux blonds et courts est maquillée de blanc, de vert-bleu et de rouge. Elle a les yeux qui fondent comme glace au soleil. à commencer par ses paupières. Elle perd la face et pour la garder y ajoute, au centre, un nez de clown. Triste cire.

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